Bienvenue dans ma tempête

28 juin 2006

Théâtre d'été

25 juin 2006

Fermeture éclair

Depuis quelques temps, je ne suis pas très présent. Disons que je suis bien occupé, un peu comme tout le monde, avec l'été et le beau temps qui montre le bout de son nez pour une deuxième fin de semaine de suite. Mais surtout, comme en témoignent les photos que j'ai ajoutées à mon site (via flickr), j'ai rencontré quelqu'un: Mélissa. Ça fait déjà trois semaines. Je n'en ai pas parlé avant, non pas que ce soit secret, mais surtout que cette fois, je n'ai pas voulu hurler trop vite un bonheur qui pourrait être éphémère, tout s'est passé tellement vite. Il faut dire que ça cliqué, vraiment. Et là, après trois semaines, je me sens prêt à espérer, à croire que ce bonheur ne sera pas éphémère. On se complète bien, et la meilleure image que je puisse donner, la sienne, c'est qu'on est comme les deux moitiés d'un zipper, et zouuippp, ensemble ça donne Mélissa et Mathieu. Et en sa compagnie, je me sens bien, je me sens moi.

24 juin 2006

Vive le Québec

24 juin.

Bonne St-Jean à tous.

19 juin 2006

Fin des Francos, fin de FRINGE

Les FrancoFolies sont terminées. J'espère que vous en aurez profité un peu. Il y avait une belle programmation. Dommage que je n'aille pas pu y aller plus souvent. D'ailleurs, je n'ai pas pu assister au show de clôture, ni à celui de Karkwa... dommage.

Le festival FRINGE St-Ambroise est également terminé. Il a passé plutôt sous silence, un peu à cause des Francos. Je suis allé faire un tour sur St-Laurent jeudi passé, où avait lieu le FRINGE. Ça avait surtout l'air d'une grosse vente trottoir, au premier coup d'oeil bien entendu. Mais j'ai découvert un petit resto mexicain bien sympathique: La Taqueria, entre Marie-Anne et Rachel, où ils servent de délicieux Nachos au poulet. Miam.

Bon début de semaine.

16 juin 2006

Pierre Lapointe en gilet bleu

Je sais, mercredi, c'était avant-hier. Vous avez sûrement déjà eu vent de quelques critiques des soirées Voit bleu et Voit rouge de Pierre Lapointe. Les deux premiers spectacles à afficher complet aux Francos. Deux shows uniques, pour l'occasion du festival uniquement.

J'ai eu la chance d'avoir des billets pour Voit bleu, le plus smooth des deux spectacles, le rouge étant plus rock. Un billet que j'ai eu de façon vraiment innatendue, alors que tout était déjà vendu. Merci Mélissa.

Donc, 19h00, assis quelque part au balcon du Spectrum, le rideau se lève et je l'entends commencer avec La Dame en bleu, tiens donc, c'est concept!

Je m'attendais à entendre plusieurs chansons de son dernier album, La forêt des mal-aimés. Certes il y en a eu, mais il a vraiment profité de sa carte blanche pour faire découvrir des artistes et faire le choriste pour ces derniers. Les invités? Rien de secret, c'était anoncé bien d'avance: Albin de la Simone, Damien Robitaille, Dany Placard, Philippe B et Josiane Hébert. Les deux derniers faisant partie de son groupe de tournée, le guitariste et la pianiste respectivement.

De son répertoire personnel, et de mémoire, on a eu droit à 27100 rue des Partances, Au nom des cieux galvanisés, 25-1-14-14 (interprétée par sa pianiste seule), Plaisirs dénudés, et sans doute d'autres. Il a fini, avant les rappels, avec Deux par deux rassemblés, laquelle j'étais bien heureux d'entendre, ma favorite de l'album. Pour cette dernière, il était au piano et tous les autres, musiciens et artistes invités, ont fait les choristes sur le refrain "Non ce n'est sûrement pas de briller qui nous empêchera de tomber, Non ce n'est sûrement pas de tomber qui nous empêchera de rêver". De toute beauté.

Au fait, l'éclairage, lorsqu'il était seul au piano pour interpréter quelques unes de ses pièces, c'était superbe. Comme s'il rayonnait. Ça allait tellement bien avec le ton du spectacle qui était smooth, très smooth. Un show qui se voulait d'ambiance "feu de camps". Je n'irai pas jusqu'à dire ça, parce qu'autour d'un feu, on n'a pas de piano, et ça prend au moins une interprétation du Vieux dans le bas du fleuve. Quoiqu'à défaut d'avoir le vieux, on a eu une interprétation en duo par Lapointe et Philippe B. de Turbo Sympathique, chanson des Trois Accords. Surprenant de voir ça, loin d'une version drum-bass-guit, il y avait, oh, je ne me rappelle plus trop, violon, contrebasse, violoncelle, bref ce genre d'instruments, plus classique. Bien amusante!

Et pour le reste, on a eu droit à environ deux chansons du répertoire de chacun des artistes invités. Des chansons pas très connues, du moins de ma part. Mais j'ai découvert Damien Robitaille que je ne connaissais pas, avec ses chansons Électrique et Rouge-Gorge. Sympathique le gars, paraîtrait même que c'est le seul à complexer Pierre Lapointe. Ah bon! C'est vrai que Lapointe a un humour plutôt imbu de lui-même. Et, bien que ça n'aille pas vraiment rapport, il a dans l'attitude certaines ressemblances avec Dany Turcotte, ça m'a frappé, je voulais le partager.

Bref, c'était un bon spectacle, unique, et pour ceux qui voulaient le voir mais qui n'ont pas pu avoir de billets, il a été filmé et passera à la télévision un de ces quatre. Mais c'était smooth, vraiment smooth (est-ce que je l'ai déjà dit?), un show pour se coller. Ça tombait bien, j'y étais avec Mélissa.

14 juin 2006

Lettre ouverte à mon pote Phil

Le primaire, ça fait longtemps. D'ailleurs, il y a 18 ans de ça, tu affrontais avec moi Louise Ayotte. "Avec moi"... j'admets que c'est légèrement exagéré. Je me rappelle de Louise, mais le fait que t'étais dans ma classe, un peu moins, je le sais surtout grâce aux vieilles photos. C'est donc pas surprenant que pour le reste du primaire, t'as fait tes affaires, j'ai fait les miennes, et on s'est bien crissé l'un de l'autre.

Au secondaire, j'ai commencé à me tenir avec Marc, et par la bande, un peu avec toi. Mais maudit que j'haissais ça quand Marc t'invitait à jouer avec nous. "Philippe, il crie bein trop". C'est de même que ça commencé nous deux. De mon côté en tout cas. Bizarrement, je ne me rappelle pas à quel moment précis j'ai commencé à t'apprécier vraiment. Peut-être quand j'ai découvert en toi un adversaire de taille à MarioKart, ou alors quand j'ai commencé à jouer au badminton tous les samedis avec toi à JBM. Peut-être le temps de remarquer que quand tu perds pas, dans le fond, t'es un criss de bon gars. C'est venu naturellement, sans même que je m'en aperçoive. Les souvenirs sont présents, mais la chronologie un peu moins. Peu importe, je sais très bien que notre amitié, la vraie, ça commencé quand on était en 4e secondaire. Ça fait 10 ans de ça. Je dis pas que t'étais pas mon ami avant, non, simplement que c'était différent. Assez pour que l'année suivante je frustre secrètement après ta maudite harmonie qui t'occupait trop de midis à mon goût.

J'ai déjà dit que j'entrenais beaucoup de rancoeur face à mon secondaire, mais il y a toujours bein quelques trucs positifs qui en ressort, pis un de ceux là, c'est notre amitié. Celle-là qui perdure depuis ce temps, et celle-là même qui va durer jusqu'à ce que je sois dans ma tombe. C'est comme ça, c'est tout. Et même si on se voit pas tous les jours, ni même toutes les semaines, il n'y a rien pour altérer ce que je ressens pour toi, pas même le temps. Ensemble, on n'a pas fait de grands voyages, ni fait de grandes découvertes sur la vie ou encore les 400 coups, mais ensemble, on a fait plus que passer seulement du bon temps, on a partagé notre confiance. Je peux te parler de n'importe quoi, sans crainte que ça l'affecte notre amitié, sans crainte d'être rejeté, parce que tu sais me comprendre. Parce qu'il n'y a aucune gêne, aucune retenue, parce que tu m'acceptes comme je suis, et ce peu importe comment je suis.

Je me rappelerai toujours ce party que tu avais fait chez toi. LE party, celui où j'ai pété ma coche pour une histoire plutôt banale. Cette fois où j'ai pu réaliser combien tu étais important dans ma vie. Cette fois là où j'ai vu que je comptais sincèrement à tes yeux. Cette fois là, où tu m'as dit: "J't'aime Mathieu". Oh, entre gars, on se le dit pas bein bein. C'est pas viril, c'est pas très mâle. Dans l'état où j'étais et le contexte, peut-être que ça a donné l'impression que ce que t'as fait pour moi cette soirée a passé inaperçu, mais non. C'est gravé dans ma tête, et avec le temps qui a passé depuis cet instant, je me rappelle cette soirée avec fierté, et même si ça l'a mal fini, c'est devenu un beau souvenir, parce que lorsque j'y repense, c'est à ce que t'as fait pour moi que je pense, non pas à ce qui s'est passé.

Tout ça pour dire que moi avec je t'aime Phil, et merci, merci d'être là.

Quelques petites nouvelles

Hier soir, je suis allé voir Christophe Mali en spectacle. Mon avis sur le show sur Festivals Québec.

Ce soir, je vais voir Pierre Lapointe en spectacle.

Je vous embrasse.

Christophe Mali / Dobacaracol

Il est 19h30, on entre au Club Soda, une heure avant le début du show. Question d'avoir une place pas trop pire, et le temps de prendre une bière après m'être goinfré au Bâton Rouge du Complexe Desjardins. Notez que j'ai appris que le stationnement du Complexe est gratuit lorsqu'on présente une facture de plus de 25$ du Bâton Rouge. Peut-être est-ce la même chose pour les autres restaurants de la place.

Je m'éloigne. 20h30, Christophe Mali, le chanteur de Tryo, entre sur scène. Après quelques échanges avec le public, il entame le spectacle avec "Le prêcheur de l'authenticité" au piano. Question de commencer très en douceur.

Durant la petite heure de sa première partie, on aura droit au meilleur de son album, en version très intimiste, soit seul au piano ou à la guitare. D'ailleurs, je n'aimais pas particulièrement la chanson "Jeune Homme", mais là, sa version au piano, elle m'a surprise. C'était au début du spectacle, après ou avant nous avoir chanté "La Cigogne", pièce ne faisant pas partie de son album, dommage, c'est une superbe chanson traitant de la crainte des hommes d'avoir des enfants, ou plutôt du désir des femmes d'en avoir, avec une touche humoristique, digne de Mali.

"Kerling Square", première chanson qu'il nous fera à la guitare, après nous avoir spécifié qu'il avait passé l'après-midi au sur un banc dehors à matter les filles qui aiment se faire matter. Il nous fera également, dans un ordre approximatif, "Le curé de ma chapelle", "Lili" et "On s'en fout".

Il nous a également fait la suite d'une chanson qui parle d'une bulle qui devint la lune. Ohhhhhh. C'est devenu l'histoire d'un ogre qui voulait manger la lune, et de Marion 6 ans, qui la sauva. Une chanson pour enfant? Il le dit peut-être, mais pas pour autant moins intéressante, vraiment pas!

Après tout ça, on a eu droit à notre rappel programmé. Au moins, il ne s'est pas fait attendre très longtemps entre les deux rappels, disons 15 secondes. Premier rappel, évidemment, il nous fait "Le premier amour", il ne pouvait bien entendu pas partir sans nous faire son premier extrait. Deuxième fois qui prend la guitare dans la soirée, ou était-ce la troisième? Oui, la troisième, "On s'en fout" il l'a fait à la guitare aussi, il me semble. Quoiqu'il en soit... Ensuite, il nous fait "Pas là", une chanson pour faire participer le public qui n'est pas sur son album. Et les femmes chantent plus juste que les hommes, hé bien, je ne suis pas surpris, pour mon cas bien entendu. Et il repars avant de revenir pour nous faire sa dernière chanson, mais non la moindre, "Le caméléon". Une version unplugged, complètement. Il débranche sa guitare, laisse tomber le micro. Silence dans la salle pour savourer cette superbe chanson dont il nous fait don, pratiquement même a capella, du moins par moment. C'était un moment simplement magique.

Wow. C'est tout ce que j'ai à dire de ce spectacle, dont le seul point négatif était qu'il était court. On ne peut passer non plus sous silence qu'il interagissait beaucoup avec le public, avec une bonne dose d'humour, c'en était jouissif. En tout cas, il aime être sur scène, ça paraît, on pourrait pratiquement le comparer à un enfant tout excité d'aller au Parc Safari. De la joie.

Et Dobacaracol ? Qui était supposément la tête d'affiche de ce show... Bah, je vais être franc, je trippe pas sur elles au point de les voir pendant 2 heures. Je les avais déjà vu quand j'avais été à Ottawa, ça se ressemblait pas mal, le froid en moins. Elles ont entâmée leur partie avec "Amazone", c'était trop prévisible, bien que ça donne bien le ton pour le reste du spectacle.

Malheureusement, on entendait pas vraiment ce qu'elles chantaient, la voix était pas bien mixée je trouve, peut-être trop de basse dedans, trop en arrière-plan. Anyway. Et c'est assez redondant comme style, elles sont super bonnes aux percussions mais, le chant, on dirait qu'elles chantent toujours la même chose, de la même manière. Bref, on a assisté à une heure de leur partie et on est partis. Juste après avoir entendu "Étrange", à laquelle Christophe Mali a participé. Surprise.

Ok c'est bref, mais, seriez-vous surpris si je vous disais que j'y allais plutôt pour Mali que pour Dobacaracol?

9 juin 2006

Sauvons Kyoto

Parce que c'est important.

Sauvons Kyoto

Une pétition, parce que Stephen Harper veut suivre les traces de Bush.

Une pétition, en ligne, centralisée, sérieuse. Pas une de ces chaînes de lettre qui s'éparpille n'importe comment dans nos e-mails.

Ouverture des Francos

Hier, 21h00, c'était le show d'ouverture des Francos. Malgré la température plutôt automnale et le ciel ombragé, j'étais au rendez-vous pour y assister.

Alors, est-ce que c'était bon? Mais bien sûr!

Le spectacle s'intitulait Le Pied Dansant, avec pour thème: Francophonie et musique du monde. Une brochette d'artistes de plusieurs genres, parce que la musique francophone, ce n'est pas seulement les groupes québécois qui se suivent et se ressemblent comme Kaïn, La Chicane et Longue Distance. Donc, au risque de me répeter, le tout était animé par Luck Mervil et on a eu droit à des prestations de Marco Calliari, Coyote, Dobacaracol, Monica Freire, Ariane Moffatt, Lynda Thalie, Yann Perreau et Vincent Vallières.

Alors, si on passait chacun des artistes un par un? Mais ne vous attendez pas à ce que je vous donne les titres de toutes chansons, que dalle, je ne les connais pas vraiment.

Les deux filles de Dobacaracol ont commencé le show (bon, après la mini prestation de Luck Mervil) en nous faisant Amazone, accompagnées de leur djembe. Ça l'annonce bien les couleurs du spectacle. Bien entendu, elles ont fini en fin de soirée en nous faisant Étrange, leur gros succès.

Monica Freire, du Brésil. Je dirais que c'est celle qui a passé le plus inaperçue dans le lot, du moins à mon avis. Plutôt léger comme musique, mais son duo avec Ariane Moffatt était intéressant.


Marco Calliari, chanteur italien au passé heavy métal (membre fondateur du groupe Anonymus), il a entammé une carrière solo un peu moins trash, et nous a offert deux chansons aux influences plus ska que métal. La première était ordinaire, mais pour la deuxième, où tous les autres artistes l'ont accompagné sur la scène, c'était tout ce qui a de plus entraînant.

Yann Perreau. Artiste plutôt mitigé. Certains le décriront comme une bête de scène, et d'autres comme un surexcité en vêtement trop stretch pour lui. Hier, il était déguisé en cowboy digne de Brokeback Mountain. Et alors? Sa première chanson peut passer sous silence, mais pour ce qui est de La vie n'est pas qu'une saloppe, ça rentrait. L'énergie était au rendez-vous, faut dire que tout comme Marco Calliari, pour sa dernière chanson, il était accompagné du reste des artistes.

Coyote, du rap. Bon, je ne suis pas fan de hip-hop au départ. Mais en show, j'apprécie plus. Il nous a fait son single Les femmes sont si belles et une autre dont je ne me rappelle plus le titre.

Outre le duo avec Monica Freire, Ariane Moffatt a chanté, hmmm, Chacun dans son espace si je ne me trompe, avec Vincent Vallières. C'était vendeur comme duo. Et elle nous a fait aussi une chanson en solo, ben smooth, dont je ne sais pas le titre.

Parlant de Vincent Vallières, il a bien entendu interprété Le temps passe. Honnêtement, je l'aime ben Vincent Vallières, après l'avoir vu au CEPSUM pour le show des 15 ans de CISM où il s'était démarqué du lot (sans doute puisque c'est lors de sa prestation que le son était le plus clair), à nouveau je lui donnerais une mention spéciale pour le Pied Dansant. Au fait, il fait un spectacle gratuit samedi à 22h00.

Et pour finir, Lynda Thalie. Belle surprise cette Lynda Thalie. Je la connaissais un peu, pas beaucoup. Mais vraiment j'ai adoré ce que j'ai vu hier. C'est un mélange entre le Moyen-Orient et l'Occident, passant par l'Afrique du Nord. Accompagnée de sa voix suave, elle nous a fait plusieurs chansons, mais son interprétation personnelle d'une des chansons du folklore québécois (euh quelqu'un c'était quoi le titre? Merde) était vraiment savoureuse. Elle sera présente elle aussi samedi, à 19h00 et 22h00.

Au fait, on a eu un peu de pluie, mais rien pour gâcher la soirée! Sûrement donc que Samedi je vais aller faire un tour, où j'assisterai soit aux spectacles extérieurs, ou peut-être Loco Locass, paraît qu'ils sont bon en show. Je verrai. J'ai aussi mon show de Dobacaracol/Christophe Mali mardi prochain et Pierre Lapointe Mercredi.

Et puis, malheureusement, je n'irai pas au festival de la chanson de Tadoussac. La belle température n'étant pas au rendez-vous, c'est un peu loin pour faire du camping et se taper de la pluie. Dommage. :(

4 juin 2006

Mondial de la bière

J'espère que vous avez eu le temps d'aller au Mondial de la bière.

J'y suis allé mercredi passé. La première journée de l'événement, en plein milieu de semaine. Pas si mal, il y avait du monde, mais c'était respirable, sûrement plus qu'en fin de semaine, et même que jeudi où sûrement beaucoup de gens y sont allés pour l'occasion d'un 5 à 7.

C'était l'occasion idéale pour goûter aux bières de microbrasseries et brasseries artisanales.

La Barberie, le Dieu du Ciel!, le Lion d'Or, Brutopia... Il y en avait pour tous les goûts, même pour les amateurs de Molson qui pensent que le goût de la Molson va être meilleur à 2$ dans un verre de dégustation plutôt qu'à 1$ pour une bouteille à l'épicerie. Méchante aubaine... une vraie foire pour les papilles.

J'en ai trop goûté, je ne me rappelle plus le nom de chacune des bières. Triste. J'aurais du tout noté ça. J'ai pas vraiment de mentions spéciales, j'ai aimé pas mal toutes les bières que j'ai goûtées, ah tiens, une bière aux carottes, c'est quand même particulier. Mais je suis plus un amateur de bières foncées, donc je me suis concentrés un peu plus sur les bières brunes et les stouts.

Prochaine étape: les Francos et Nuit blanche sur tableau noir

1 juin 2006

Les gars, me semble qu'on est dû.

Je lisais, comme ça, quelques textes de Nicolas sur Sombres Mots, un exercice littéraire, mais qui sonne tellement vrai qu'on s'y méprend.

Après un an d'existence, Sombres Mots prend fin (depuis le 21 mai). Je n'ai jamais suivi de façon assidue ce qu'il écrivait, mais pour son dernier billet, Nicolas a laissé une liste de textes, un genre de "best of", sans en être un.

J'ai lu celui là, entre autres: Les gars, me semble qu'on est dû.

Va savoir, je m'y suis retrouvé. Et je me dit que, mes gars, je les ai. Merci Luc, merci Phil.

Dépassé

Si seulement je pouvais avoir une boule de crystal.