Nuit de noces d'un Québécois

La veille de sa nuit de noces, un jeune péquiste écoute les dernières recommandations de son père:

“Mon fils, quand tu vas entrer dans la chambre, tu prends ta femme dans tes bras, parce qu’un Québécois c’est FORT!
Ensuite, tu la jettes sur le lit, parce qu’un Québécois c’est FIER!
Puis tu te mets tout nu, parce qu’un Québécois c’est BEAU!”.

Le lendemain de la nuit de noces, son père lui demande comment ça s’est passé.

“J’ai fait comme tu m’as dit, je l’ai prise dans mes bras pour l’amener dans la chambre, parce qu’un Québécois c’est FORT!
Puis, je l’ai jetée sur le lit, parce qu’un Québécois c’est FIER!
Ensuite, je me suis mis tout nu, parce qu’un Québécois c’est BEAU!”. répondit le fils.

“Et puis?”, demanda le père.

“Et puis, je me suis masturbé! Parce qu’un Québécois c’est INDÉPENDANT et AUTONOME!”.

Les filles du concierge

En rentrant chez moi, je croise le concierge qui adore me poser des petits problèmes.

“Aujourd’hui, je vais vous faire deviner l’âge de mes 3 filles, dit-il : le produit des âges est égale à 36 et la somme de ces âges est égale au numéro de notre immeuble.”

Voyant ma mine déconcertée, il ajoute :
“Bien sûr, j’ai oublié de préciser que ma fille ainée a les yeux bleus.”

Je lui donne alors sans sans hésiter l’âge de ses 3 filles.

Quels sont ces âges ?

(Il ne manque aucun indice pour trouver la solution.)

Prêt pour l'été

Voilà, après 4 ans sans vélo, je m’en suis finalement acheté un nouveau. Il était temps.

Il s’agit d’un vélo de montagne Giant Boulder SE.



Et pour mieux le transporter sur ma belle Mazda3, je me suis équipé d’un support à vélo pour valise, un Yakima Super Joe.

L'étudiant japonais

Premier jour d’école dans une classe américaine.

L’institutrice présente à la classe un nouvel élève, Sakiro Suzuki.

Le cours commence.

L’institutrice:
-Bon, voyons qui maîtrise l’histoire de la culture américaine. Qui a dit: “Donnez-moi la liberté ou la mort” ?

Pas un murmure dans la salle.

Suzuki lève la main:
-Patrick Henry, 1775, à Philadelphie.
-Très bien Suzuki! Et qui a dit: “L’état est le peuple, le peuple ne peut pas sombrer”?
-Abraham Lincoln, 1863 à Washington, répond Suzuki.

L’institutrice regarde les élèves et dit:
-N’avez-vous pas honte ? Suzuki est japonais et il connaît l’histoire américaine mieux que vous!

On entend alors une petite voix au fond de la classe:
-Allez tous vous faire f…, connards de Japonais !
-Qui a dit ça? s’insurge l’institutrice.

Suzuki lève la main et sans attendre, dit:
-Général Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee Lacocca, 1982, lors de l’assemblée générale de General Motors.

Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret:
-Y’m'fait vomir, l’hostie.
-Qui a dit ça? hurle l’institutrice.

Et Suzuki:
-George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.

Un des élèves se lève alors et crie:
-Suce-moi la graine!

Et Suzuki, sans ciller:
-Bill Clinton à Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la Maison Blanche à Washington.

Un autre élève lui hurle alors:
-Suzuki, espèce de tas de merde!

Et Suzuki:
-Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.

La salle tombe littéralement dans l’hystérie, l’institutrice perd connaissance, la porte s’ouvre et le directeur de l’école apparaît:
-MERDE, j’ai encore jamais vu un bordel pareil !

Et Suzuki:
-Paul Martin, à Ottawa, en 2003, après s’être fait raconter l’affaire des commandites par Jean Chrétien.

Sin City

Une pure merveille. Mes attentes étaient plutôt élevées pour ce film suite aux commentaires que j’avais eu, et, je dois l’admettre, ce film est à mon avis incontournable.

Notons que j'ai vu quelques mauvais commentaires à son égard du genre : violence gratuite, nudité inutile, histoire boiteuse et mauvais jeu des acteurs…

Pour la violence, c'est juste normal, c'est l'essence même du film, faut pas être surpris! Et encore, c’est pas plus violent que Kill Bill ou autres films du genre. Et pour la nudité sous n’importe quel prétexte? Oui on voit des seins, et des filles habillées très sexy, beaucoup? Non pas tant que ça. De toute façon, SIN CITY, le titre lui même est évocateur (Sin est le mot anglais pour péché).

Pour ce qui est de l'absence d’un scénario, désolé mais introduction, intrigue, développement, dénouement, tout y est. De plus, trois histoires se chevauchant, qui valent chacune leur pesant d’or selon moi, c’est excellent.

Je n'ai lu aucune des bandes-dessinées originales de Frank Miller, mais peu importe. Ce film est un chef-d'oeuvre. D'ailleurs, j'irai jusqu'à dire que ce n'est pas une adaptation cinématographique d’une BD, mais la transposition même de la BD sur l'écran. Donc, il ne faut pas penser qu'on va voir un film, il faut penser qu'on va voir une bande-dessinée sur grand écran.

Et cette atmosphère sombre de Sin City, avec la luminescence sur certains éléments, magnifique.

Les points forts du film:
* L'atmosphère sombre et envoûtante;
* Les effets spéciaux très "bédéistes";
* La narration durant le film;
* Les images superbes.

Chapeau Robert Rodriguez.