Je me coucherais. Je dormirais. Pour rêver, pour oublier. Un sommeil serein, sans tracas. Pour accélérer le temps, pour fuire la réalité. Pas n'importe quelle réalité, une réalité étouffante d'absence. Je suis confus, tourmenté. Ça marche pas ça, allô, mais qu'est-ce qui se passe avec moi ? Et puis zut.
Vivement la fin de semaine. En amoureux, heureux. Mary et moi, à Ottawa.
Mary... j'en ai déjà parlé de Mary... Ahhhh Mary... J'y pense tout le temps.
8 février 2006
Me semble que...
Écrit à 4:01 p.m.
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