Mes sentiments pour toi ont atteint leur apogée. Sherbrooke, tu m'emmerdes. Sherbrooke, je t'emmerde. Fuck you Sherbrooke. J'en ai mon quota, une overdose estrienne. Je me console, plus que deux semaines à t'endurer. "Demain matin, Montréal m'attend". Retour dans mon patelin, dans mon petit bout de pays qu'est Terrebonne. Tu trouves que j'exagère ? Peut-être, mais je n'en ai rien à foutre. Tu m'écœures Sherbrooke. Je t'ai aimée, je ne t'aime plus: criss moé patience.
Pathétique, je suis pathétique, en "colère" contre une ville qui m'a si bien accueilli. Mais bon, après avoir changé d'air, après les vacances, supposées chrétiennes, je ferai mon mea culpa.
4 décembre 2005
Montée de lait régionale
Écrit à 1:54 a.m.
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